Nous nous félicitions, il y a encore quelques jours, de l’état d’avancement des démarches préalables à la réalisation de notre deuxième grappe d’installations photovoltaïques. Tout était prêt : études techniques, demandes de raccordement, autorisation administratives, consultations des entreprises, dossier de financement… Toutes les cases étaient au vert pour les 6 toitures de cette deuxième grappe. Nous nous apprêtions à signer les devis.
On a été un peu vite !
Nous apprenons en effet, au détour d’une conversation, que des travaux de réparation et d’isolation doivent être conduits par la Communauté de Communes sur la toiture du gymnase de Val d’Oingt dont elle est propriétaire. La collectivité ne peut donc pas honorer la promesse de bail qu’elle avait signée avec nous. Cevidorées ne peut pas réaliser ce chantier.
Cette installation était la plus importante de cette deuxième grappe et représentait à elle seule la moitié de la puissance installée ; il nous faut donc revoir l’équilibre économique de ces prochains projets, revoir les conditions de financement et de tarif qui nous avaient été proposées par les banques et les entreprises, essayer de remplacer cette toiture par une autre… et ceci au tout dernier moment, alors que les entreprises attendent notre signature pour passer commande et engager les travaux.
Les imprévus, ça arrive. C’est même le lot commun des chantiers un peu importants dans le bâtiment. Mais on a beau dire, pour les bénévoles que nous sommes, ce n’est quand même pas très agréable !…